Rhéa Jean, docteure en philosophie
Rhéa Jean a obtenu un doctorat en philosophie de l’Université Laval (dans le cadre d’un protocole d’entente avec l’Université de Sherbrooke) après une maîtrise en études cinématographiques à l’Université de Montréal. Elle a ensuite été chercheure postdoctorale au Laboratoire de philosophie et de recherche en histoire des idées de l’Université du Luxembourg pendant trois ans. Elle est par ailleurs active dans le mouvement féministe depuis près de 20 ans, particulièrement sur la question de l’abolition de la prostitution.
Publications
Ouvrages :
Rhéa Jean, L’intime et le marché : réflexion éthique sur l’autonomie et la prostitution, Québec, Presses de l’Université Laval, 2014.
Chapitres de livre :
Rhéa Jean, « Le droit à la dissidence face au discours actuel sur l’identité de genre », in Normand Baillargeon (dir.), Liberté surveillée : quelques essais sur la parole à l’intérieur et à l’extérieur du cadre académique, Montréal, Leméac, 2019.
Rhéa Jean, « Prostitution and the Concept of Agency », in Heather Widdows and Herjeet Marway (dir.), Women and Violence: The Agency of Victims and Perpetrators, Hampshire (Royaume-Uni), Palgrave Macmillan, 2015.
Articles :
Rhéa Jean, « Une gauche dans le réel », Le Mouton noir, mai 2017,
https://www.moutonnoir.com/2017/05/une-gauche-dans-le-reel.
André Duhamel et Rhéa Jean, « La philosophie est-elle masculine ? », Le Devoir, 7 mars 2015 :
Rhéa Jean, « Les notions d’agentivité et de victime dans le contexte prostitutionnel », Labrys, études féministes (Brésil), no 24, juillet/décembre 2013,
http://www.tanianavarroswain.com.br/labrys/labrys24/sumarios/sumarioprostitution.htm
« Le consentement vicié des personnes prostituées et la « bonne conscience » des clients », Chronique féministe (Belgique), no109 (dossier « Prostitution et faux semblants »), janvier-juin 2012, p. 25-28.
Rhéa Jean, « Mondialisation et travail des femmes : perspective féministe », FéminÉtudes, vol. 14, no 1, 2009, p. 33-37.
Rhéa Jean, « L’opposition à la prostitution dans le contexte d’une société libérale », Éthique publique, vol. 8, no 1, printemps 2006, p. 134-157.
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